Ce n’est point un vœu pieux, comme il peut être ditD’un beau pèlerinage aux sources de cette archeQue la Mecque puissante expose et introduitDans l’âme fidèle montant du Ciel la marche.
Mais c’est bien un voyage, auquel l’on associeLe nom de Mohammad dans l’univers inscritAu plus près de mon cœur, où il n’est de souci,Qui ne soit effacé, et où tout est écrit
Dans une compagnie où je suis cet oiseauQui pèche, dans le lac que l’Iran représente,Des poissons tout heureux de me voir en cette eauEt être digéré comme Jonas Prophète
En y sentant la foi guider mes yeux fermésA un soleil trop vif, et qui la nuit observeAutant que dans le jour, les gestes très aimésDe celui que je cite en devinant son rêve
D’enfant bien entouré par deux aimables tantesEt qui grandira vite, aux cadeaux de leurs fêtes !